Historique

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Ecole Guy

1889 Ouverture de l'école Saint Louis par les soeurs Rabais-Bousquet dont le frère, prêtre était professeur au petit séminaire de Bergerac. L'établissement, composé d'une classe unique, se situait rue St Louis d'où le premier nom de l'école.
1937 Soeur Bernadette, sœur du Christ Roi, reprend l'école. Celle-ci prend le nom de Guy de Fontgalland en souvenir du fils d'un ami du père fondateur. Ce garçon, décédé à la fleur de l'âge, nourrissait une foi profonde.
1940 Arrivée de sœur Placide. L'école accueille alors 40 élèves.
1975 Ouverture d'une 2e classe rattachée administrativement à l'école Fénelon. L'école s'installe dans l'enceinte de Fénelon dans un nouveau bâtiment crée pour accueillir ses 66 élèves;
1980 Ouverture d'une 3e classe.
1982 Changement de Directrice. Soeur Bernadette est remplacée par Madame Françoise Jézéquel. L'école reçoit alors 104 élèves.
1986 Départ à la retraite de Soeur Placide.
1988 Construction d'un nouveau bâtiment comprenant: une salle de classe et un bureau. Effectif: 108 élèves.
1989 L'école fête son centenaire. Elle accueille 103 élèves.
1992 Ouverture d'une quatrième classe. Effectif: 111 élèves.
1994 Ouverture du centre de loisirs sans hébergement.
1995 Restauration de la salle Notre Dame et du garage attenant. De ce fait, l'école bénéficie ainsi de deux classes supplémentaires, d'une salle polyvalente pouvant accueillir 200 personnes, d'un office et d'un bloc sanitaire.

L'école est maintenant composée de 6 classes avec un accueil tout particulier pour les 2 ans. Son effectif est de 150 élèves.

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A la fin du siècle dernier et au début du XXe siècle, l'Ecole Fénelon, alors dénommé "Pensionnat Fénelon", était située à l'emplacement et dans les bâtiments du centre Jules Ferry, place Jules Ferry à Bergerac. Ce pensionnat était alors dirigé par des religieux, les Frères des Écoles chrétiennes.

1905, vote de la Loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat. Le pensionnat Fénelon devint alors une école primaire publique: "L'école Jules Ferry". Ce n'est qu'un peu avant la première guerre mondiale semble-t-il, que l'école Fénelon rouvrit ses portes au 18 boulevard Maine de Biran où elle connut des débuts modestes.

Après le seconde guerre mondiale, un cours complémentaire fonctionnant jusqu'en classe de 3e et préparant au B.E.P.C fut annexé à l'école primaire jusqu'en 1965. Cette année là, l'Institution Saint Front ouvrit ses portes aux externes, à partir de la 6e. L'école Fénelon retrouva sa vocation première d'école primaire. Elle regroupe actuellement 10 classes élémentaires et un regroupement d'adaptation (à mi-temps).

 

Ecole Fénelon-Guy

Septembre 2015, les deux écoles fusionnent après le départ à la retraite des Chefs d'établissement. Monsieur Thierry SAUX prend la direction de la nouvelle école Fénelon-Guy.

Tous les jours, plus de 400 élèves répartis en 17 classes (6 maternelles, 10 élémentaires et un regroupement d'adaptation) franchissent le portail et sont encadrés par 19 enseignants de l'Education Nationale et 12 personnes employées par l'OGEC de l'école.

 

 

Qui était Fénelon ?220px-1.png

François de Salignac de la Mothe Fénelon, prélat français, né au château de Fénelon dans le Périgord en 1631, meurt à Cambrai en 1715. La carrière de Fénelon a d'abord été celle d'un prêtre animé d'une foi profonde, et qui se voue avec ardeur aux oeuvres de son ministère. En 1689, il fut nommé précepteur du Duc de Bourgogne. Il s'applique à sa tâche avec une sorte de génie: d'un prince têtu et violent, il fit un prince docile et dévoué. C'est pour son élève qu'il rédige des ouvrages de pédagogie alerte. Il entre à l'Académie Française en 1693.